démographie

Elle comptait 2465 habitants lors du recensement de 1991 :

soit une densité de 48 habitants au Km2.

Fontfreyde : 418 h, Manson : 394 h, Berzet : 351 h, Theix : 244 h,

Laschamps : 238 h, Beaune : 136 h, Pardon : 128 h, Chatrat: 122 h,

Saint-Genès-Champanelle (Bourg): 168 h, Nadaillat : 117 h, Thèdes : 79 h, Champeaux : 70 h.

Lors du recensement de 1999, le nombre d'habitants s'est élevé à 2688 :

[Pour le recensement de 1999, l'INSEE n'a pas distingué la population des villages.]

soit un gain de 223 habitants et une densité de 52 habitants au Km2.

Petit graphique rapide de l'évolution démographique (non linéaire)

La commune avait déjà au XIXème siècle atteint 2000 habitants.
Sa population a chuté jusqu'à atteindre un creux en 1946,
puis on constate qu'elle remonte et va certainement bientôt
franchir la barre des 3000 habitants dans les années à venir.

Démographie socio-professionnelle
de Saint-Genès-Champanelle

Le tableau ci-dessus nous montre l'évolution des catégories socio-professionnelles
intallées sur la commune depuis le recensement de 1962.
A noter qu'en 1982, la nomenclature des catégories professionnelles de l'INSEE a changé.

Une vue graphique pour chacune des 6 catégories est bien plus parlante.

		Leur nombre a été divisé par 6,7. Deuxième catégorie talonnant les ouvriers en 1962, en 1999, ils ne représentaient plus que 2,06 % de la population active.
		Depuis 1962, leur nombre a doublé, mais ils ne représentent que 4,71 % de la population active. 1975 a marqué un fort accroissement de leur installation alors qu'ils avaient été peu attirés auparavant par notre commune mais c'est le recul depuis 1982.
		Absents en 1962, les cadres supérieurs ont afflué surtout depuis 1982 mais ne travaillent pas forcément sur la commune. Ils représentaient en 1999, 15,59 % de la population active.
		Les professions intermédiaire ou cadres moyens se sont installés de façon régulière jusqu'à prendre la première place en pourcentage avec 30,88%.
		Les employés bien qu'ayant des revenus moins élevés que les 3 catégories précédentes sont en deuxième position derrière les professions intermédaires. On note une forte accélération à partir de 1975.
		Les ouvriers ont longtemps été la première catégorie socio-professionnelle installée sur la commune; cela tient certainement à l'histoire industrielle de Clermont-Ferrand qui, à travers les usines Michelin et Bergougnan, ont toujours favorisé le passage de l'état de cultivateur à ouvrier des populations des villages proches de l'agglomération clermontoise. Souvent, les ouvriers, une fois rentrés chez eux, commençaient une deuxième journée dans la ferme tenue en grande partie par leurs épouses et avaient ainsi un deuxième revenu d'appoint. Ils sont en 1999, passés au 3ème rang.